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Prise en main à distance : un nouvel acteur veut dépoussiérer le marché

14 mai 2025Cybersécurité

Vous pensiez le télétravail à la baisse ? Que nenni ! Même si l’on parle beaucoup du « retour au bureau », il s’agirait plus d’une exagération que d’une réelle tendance, notamment en France où la moitié des cadres serait prêts à quitter leur poste si le télétravail disparaissait. Plus d’un quart d’entre nous jongle donc chaque semaine, pour notre plus grand bien-être, entre réseau domestique, VPN d’entreprise, écrans multiples… et coups de fil au support dès 8 h 30. Problème ? Le marché du logiciel de prise en main à distance ronronne entre trois géants étrangers, licences labyrinthiques et hébergements parfois opaques. Bonne nouvelle : une jeune pousse tricolore débarque avec l’ambition de dépoussiérer tout ça. Voyons pourquoi le timing est (enfin) parfait.

Logiciels helpdesk : un marché verrouillé qui s’essouffle

TeamViewer, AnyDesk, DameWare… Les gros bras historiques tiennent la barre depuis quinze ans, mais dans les coulisses, les administrateurs grincent : interfaces vieillissantes, options en pagaille, contrats « par session » qui explosent la facture dès que l’on ouvre un ticket.

Côté conformité, certains datacentres se nichent hors UE. Pas idéal quand la directive NIS 2 et le RGPD exigent de cartographier chaque flux critique.

Résultat : PME, collectivités et éditeurs SaaS cherchent activement un plan B.

Pourquoi le moment est idéal pour un nouveau venu

Deux tendances se percutent : l’usage et la souveraineté.

D’un côté, le télétravail durable, le support client SaaS mondial et la maintenance serveurs 24/7 font bondir la demande. De l’autre, le Cloud Act américain rappelle que les données hors UE ne sont plus un détail juridique. Sans oublier l’inflation : la DSI doit serrer la vis budgétaire, donc fuir les licences ésotériques.

Dit autrement, marché mûr + frustration client + fenêtre réglementaire = le cocktail rêvé pour un challenger agile.

Les limites des solutions historiques (et pourquoi ça coince)

Permettez-moi un petit constat terrain. Avez-vous déjà posé une question simple au support d’un grand éditeur ? Alors vous n’êtes pas sans savoir qu’il est souvent nécessaire d’attendre 48h pour une réponse… plus éventuellement trois transferts d’appel.

Ces limites se retrouvent généralement chez la plupart des gros éditeurs :

  • Tarifs opaques : licence « technicien + 200 sessions/an » → surtaxe si un pic inattendu survient.
  • Interface obèse : 60 icônes quand 90 % des agents n’en cliquent que trois.
  • Hébergement hors UE : backups aux USA, logs copiés en Asie – un cauchemar DPO.
  • Roadmap au ralenti : ticket « feature request » qui atterrit dans un backlog de 3 000 lignes.

Bref, un air de legacy qui jure avec l’IT hybride de 2025.

L’approche d’un nouvel éditeur : fraîche, fluide, souveraine

Imaginez un outil full-web : l’utilisateur clique sur un lien, un micro-agent se charge en mémoire, et c’est parti – zéro installation lourde, zéro port exotique à ouvrir.

L’interface ? Trois gros boutons (Connexion, Transfert, Fin), le reste caché derrière un menu “avancé”.

Côté sécurité : chiffrement TLS 1.3, MFA, vidéo de session, journaux inaltérables, hébergement à Lyon dans un datacenter ISO 27001 (au passage, la France compte déjà 1 600 sites certifiés).

Last but not least : pas d’engagement ; on paie au technicien actif par mois, pas au nombre de connexions. Adieu les sueurs froides en fin de trimestre.

Cet éditeur, c’est http://www.easyremote.septeo.com.

Ce que cela change pour les équipes (et le tableau Excel du DSI)

Concrètement, quels sont les atouts d’une telle solution ? Moins de friction, plus de visibilité et un SLA qui respire…

Pour les techniciens support :

  • Prise en main express : 8 secondes chrono entre l’envoi du lien et la prise de contrôle, selon un POC mené sur 30 postes Windows, macOS et Linux.
  • Ergonomie clean : plus de temps à dépanner, moins à chercher l’option cachée.
  • Zéro mise à jour : l’éditeur pousse les correctifs côté serveur ; fini les MSI à déployer via GPO.

Pour les RSSI / DSI :

  • Maîtrise des coûts : modèle SaaS lisible, sans add-on sécurité en option.
  • Conformité RGPD : logs horodatés, consentement utilisateur obligatoire avant prise en main.
  • Traçabilité : export CSV ou API vers le SIEM pour corréler avec les alertes SOC.
  • Déploiement éclair : script PowerShell ou Intune, 500 postes en moins d’une heure.

Quatre cas d’usage qui gagnent vraiment en efficacité

  • Assistance technique instantanée
    L’utilisateur partage un code à six chiffres ; l’agent voit l’écran, bloque clavier/souris, pousse le correctif, relâche. MTTR médian : –35 % dans un help-desk mutualisé de 2 000 tickets/mois.
  • Télétravail sur SI hétérogène
    Un ingénieur DevOps se connecte à son poste labo, lance Docker Desktop et déploie son micro-service, le tout depuis un Chromebook, sans tunnel RDP. Productivité +1, plaintes VPN –1.
  • Maintenance de serveurs critiques
    Redémarrage KVM, bascule BIOS, montage ISO : tout est journalisé. L’auditeur SOX n’a plus besoin de fouiller les emails pour prouver qui a touché quoi, quand.
  • Partage de fichiers sécurisé
    Fini le détour par WeTransfer : drag-and-drop chiffré AES-256, lien expirant au bout de 24 h. La CNIL valide, le RSSI dort mieux.

Visez la souveraineté sans la prise de tête

Choisir un outil de prise en main à distance est un acte stratégique mêlant coûts, simplicité et souveraineté. EasyRemote by Septeo propose le combo gagnant : full-web, sécurité ISO 27001, hébergement 100 % Hexagone et modèle tarifaire sans pièges. Pour le technicien, c’est huit secondes pour dépanner ; pour le DSI, c’est une facture lisible ; et pour le DPO, c’est un flux RGPD-compliant. Finito le syndrome du cordonnier mal chaussé pour votre helpdesk.

Bref, le moment de tester est venu. Qui sait ? Dans six mois, vos équipes parleront de cet outil comme elles parlent aujourd’hui de Teams : indispensable… et tellement plus simple 😉.